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Sunday, February 22, 2009

Palabres...5

Quand tout les trucs s’écraseront sur mon crâne et que le ciel violet s’éclaircira, tu arrêteras de pointer ton doigt vers l’étoile scintillante, cependant, la pluie trop forte te brouilleras la vue, Jaques oh jaques, pour qui tu te prends ?
Un monstre ? Un ange ? Un camion ? Un cadre à dorure baroque ou art déco ? Une photo de famille jaunie par un temps cruel et dévastateur…
Travestir la réalité, Jaques, c’est tout simplement magique surtout quand on boit la soupe bien chaude au fond de la gorge qui se décrispe doucement dans un gloup !gloup ! sonore.
Tu n’es pas un chevalier galant Jaques, même pas un gentleman, un homme gentil qui hisse le drapeau de l’humanité bien haut, un rien. Tu es un rien couleur pistache. Voilà, J’ai trouvé.
Ensemble, ce mélange de profondeur colorée m’inspire, avec des relents d’outre tombe, Hélas, trois fois Hélas, ne m’inspire rien du tout.
Tu n’es Oh ! Jaques, qu’une pétasse.




J’ai mâché cupidon sans états d’âmes, puis j’ai garé ma voiture au bas de ton immeuble, j’ai sortis trois billets de loterie perdants et je te les ai dédicacés car avec toute la franchise du monde et la bonne volonté, tu es un looser.
Pourquoi ? Tu te demandes pourquoi ? Tu oses te demander pourquoi ? C’est marrant, tu ne vois même pas combien ta bêtise est encombrante pour ta race.
Je ris jaune quand dans tes yeux tu crois briller une lumière d’intelligence. C’est épuisant de devoir se taire sur ta bêtise. Le bon dieu se retourne sur son nuage, seul au monde, il se sent pour la première fois de sa vie infinie seul au monde. Il réalise qu’il a été incapable de t’inculquer un brin, un poil, une puce, une poussière d’intelligence.
C’est chaud, mais c’est bon quand tu souffles de ne pas trouver les mots pour expliquer combien tu as envi d’être.
Je me régale de ta stupidité. Je prends plaisir à démolir les restes de toi. Un goût sucré glisse dans ma gorge à chaque fois que j’entends tes larmes silencieuses forcées et brûlantes.
Tu prétextes la fatigue, le temps morose, l’heure avancée et sur ton visage se dessine les traits de la sueur froide, l’état dans lequel tu te mets pour prouver que tu survis…dans une maison non fonctionnelle comme ton petit cerveau.
La foudre s’abat soudain. Tu es insignifiant, quoi que tu fasses et devant ton café, tu ne peux même pas pleurer parce que tu ne réalises pas assez combien ta culture est restreinte et ta petitesse grande.