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Thursday, January 15, 2009

Palabres...4

«Penser, c'est dire non», écrivait le philosophe Alain.



Un anonyme n’a jamais été si aisément démasqué…



He says I’m addictive and addictive can never be totally good.



He hates the shower curtain touching him



- How much do you like me?
- As much as you like me…



Faked smiles
Have no secret for me
As I fake my smiles
So well
They say I shine
I shine fake
I fake shine
How can they be so stupid
And not notice my hatred to human kind
Bullshit
As I also hate poetry




Le paysage ne change pas de par ma fenêtre j’ai soif du monde et l’angoisse d’exister ne me lâche pas.



Je ne sais pas si j’aime mon bonzaï



Même dans les moments inoubliables, ne l ‘oubliez pas, le préservatif.

Friday, January 09, 2009

Il faudrait (…) 11

Il faudrait savoir que ce qui se passe en Palestine est indescriptible, je suis profondément consterné.

Il faudrait ne plus être impuissant face aux injustices.

Il faudrait que je vous souhaite une bonne année 2009, alors : Bonne Année 2009.

Il faudrait savoir que je suis en plein dans mes 30 glorieuses.

Il faudrait savoir que n’importe qui a droit à l’oubli de qui il était de la part de ceux qui le connaissent depuis toujours. Ente 18 et 30 ans les gens évoluent.

Il faudrait savoir que Jean Paul Gautier avait fais un con album intitulé « How to do That » une espèce d’interview traficoté en musique.

Il faudrait adopter la technique de la jachère sexuelle.

Il faudrait savoir, puisque les accidents sont fréquents pendant les fêtes, que pour détacher le vin rouge des habits, il est recommandé d’imbiber le tissu de lait puis de savon de Marseille ou savon « baladé » avant de rincer.

Il faudrait, pour éviter la gueule de bois après une soirée bien arrosée, boire une verre d’eau chaude avec deux demi citron et du miel.

Il faudrait savoir ce que deviendrai l’image de la femme quand les medias seront aux mains des femmes.

Il faudrait savoir que Patric Jouin, designer industriel, a créé une spatule spéciale pour tartiner le Nutella.

Il faudrait savoir qu’a Düsseldorf, en Allemagne, il existe un hôpital des « Barbie ».

Il faudrait savoir que Chaumet était le joaillier attitré de Napoléon.
A l’époque il s’appelle Marie Étienne Nitot, reçoit ses premières commandes impériales, l’épée consulaire sera l’une d’elles. Suivront des parures et un diadème pour Joséphine, des bijoux pour Marie-Louise, entre autres.

Il faudrait savoir que je refuse d’écrire des textes d’amuuur, trop cliché à mon goût, mièvre, passe partout, déprimant, déraisonnable, étiolé, « rechigneur »…


Il faudrait savoir qu’en général, les hommes apprennent à aimer les femmes qu’ils désirent alors que pour les femmes ce n’est pas clair.

Il faudrait savoir que l’artiste est libre et que l’éditeur est le servant de cette liberté.

Il faudrait desserrer la mâchoire.

Il faudrait savoir que le top 3 dans la vie c’est : la bouffe, la musique et le sexe.

Il faudrait être tendance tout en allant à contre courant.

Il faudrait savoir que les inventeurs de la bouteille isotherme (Thermos) sont deux ; Un chimiste écossais, Sir Dewar et un souffleur de verre, Reynold Birger.

Il faudrait conduire plus calmement, c’est mieux pour l’environnement et les nerfs.

Il faudrait savoir pourquoi l’adition est salée et non épicée, sucrée, poivrée, assaisonnée, ébouillantée…?

Il faudrait savoir que Hubble, le célèbre télescope spatial positionné à 600 kilomètres d'altitude a collecté depuis son lancement en 1990 pas moins de 800 000 images inédites du cosmos.
http://hubblesite.org/gallery/album/

Il faudrait savoir que je suis frustré de ne pas savoir si il y a ou non la vie ailleurs et sous quelle forme.

Il faudrait savoir que les hommes perçoivent les femmes en deux catégories : les putes et les pas putes, moi je voie les désespérées et les pas désespérées.

Il faudrait savoir pourquoi on souffle des bougies sur un gâteau. C’est dégelasse de devoir manger, le sourire aux lèvres, une tranche saupoudrée de microbes, de postillons et de H20.

Il faudrait savoir beaucoup de choses, grâce à moi vous dormez encore et toujours moins (…).