Thursday, September 03, 2009
Tuesday, September 01, 2009
Dangereux.
Il s’en va chasser avec une aisance gracieuse, une douce arrogance, un charme sexuel raffiné. Il est libre, viril, sûre de lui et il n’est pas novice.
Son message est clair et troublant.
Il envahie la femme sans la toucher. Il s’en approche assez, mais pas trop, il la regarde longuement, mais pas trop ; se perds sur ses épaules, ses seins, ses jambes en se mordant la lèvre.
Sensuel, plein de désir et de promesses, il ne disperse pas son intérêt, il se concentre sur une, elle ; pour fortifier l’impacte, renforcer l’hypnose, cuisiner à petit feu.
Il saupoudre sa proie de sel, de sucre, d’épices, de piment, il l’embrase avant sa mise à mort.
Une stratégie gagnante à tous les coups parce qu’il les veut toutes.
Son message est clair et troublant.
Il envahie la femme sans la toucher. Il s’en approche assez, mais pas trop, il la regarde longuement, mais pas trop ; se perds sur ses épaules, ses seins, ses jambes en se mordant la lèvre.
Sensuel, plein de désir et de promesses, il ne disperse pas son intérêt, il se concentre sur une, elle ; pour fortifier l’impacte, renforcer l’hypnose, cuisiner à petit feu.
Il saupoudre sa proie de sel, de sucre, d’épices, de piment, il l’embrase avant sa mise à mort.
Une stratégie gagnante à tous les coups parce qu’il les veut toutes.
De quoi parlent les gens.
Des mots, des mots…Dans l’évier, dans le plat, le corset, la musique, les mains, la gorge, la figure, les pattes,
Sa voix est belle, un brin triste, tremblotant d’émotion, et les notes qui vont avec se perdent dans un sot rouge tel l’enseigne qui s’étrangle.
Chercher un mot, une inspiration qui manque, un espace blanc à rougir de honte. Oser, pourquoi pas, après tout, les fleurs se fanent et les cœurs se rident.
Quand on a rien à perdre, on gagne souvent : Un sourire jackpot, un regard apaisant, un silence bavard, un rien puis un autre, une multitude de riens, les poumons se remplissent, se garnissent, se déplissent et ça sent bon dans les poches.
Jamais, jamais, c’est ce qu’on se dis, puis on comprend. Elle a mûris, rougis, on l’a croqué et c’était bon.
Un peut d’alcool piquant, d’un coup au fond de la gorge qui brûle, évocateur, le monde des talons lui appartient, une fumée à la main.
Commencer, recommencer des gestes, des hommes, des femmes, un trottoir, un banc, une porte, une chaise, une danse, un feu de bois de chaise, la nuit, la mort ?
Sa voix est belle, un brin triste, tremblotant d’émotion, et les notes qui vont avec se perdent dans un sot rouge tel l’enseigne qui s’étrangle.
Chercher un mot, une inspiration qui manque, un espace blanc à rougir de honte. Oser, pourquoi pas, après tout, les fleurs se fanent et les cœurs se rident.
Quand on a rien à perdre, on gagne souvent : Un sourire jackpot, un regard apaisant, un silence bavard, un rien puis un autre, une multitude de riens, les poumons se remplissent, se garnissent, se déplissent et ça sent bon dans les poches.
Jamais, jamais, c’est ce qu’on se dis, puis on comprend. Elle a mûris, rougis, on l’a croqué et c’était bon.
Un peut d’alcool piquant, d’un coup au fond de la gorge qui brûle, évocateur, le monde des talons lui appartient, une fumée à la main.
Commencer, recommencer des gestes, des hommes, des femmes, un trottoir, un banc, une porte, une chaise, une danse, un feu de bois de chaise, la nuit, la mort ?
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